Le jeu avec la nourriture (food play ou food fetish) est une forme populaire de BDSM, le maître contrôle la quantité de nourriture consommée par la personne soumise.
Les jeux les plus populaires incluant la nourriture dans le BDSM sont :
– La limitation de l’accès à la nourriture : Le maître contrôle l’alimentation de la personne soumise (pour que les souffrances morales se transforment en tourments physiques). Les gens pratiquant la limitation de l’accès à la nourriture assurent que le régime est facile à suivre s’il y a une liste de punitions de la part du maître. En d’autres mots, il est beaucoup plus facile de ne pas aller vers le frigidaire après 6 heures du soir, si tu es attaché par des menottes à un objet immobile.
– La contrainte de la personne soumise à la consommation de produits qu’elle n’aime pas ou la consommation dépassant les quantités que la personne soumise aurait normalement mangées.
– L’humiliation par la nourriture. La variante la plus simple : obliger la personne soumise à manger dans une écuelle posée sur le plancher, comme le font les chats et les chiens. Si la personne soumise n’éprouve aucune souffrance morale à manger de la sorte, donnez-lui un peu de nourriture pour animaux ou écrivez sur l’écuelle un surnom vexant. Cela doit la toucher !
– La nourriture utilisée autrement. Des bananes, des carottes et des concombres créés pour être utilisé d’une autre manière. Un tube de sauce au chocolat ou un pot de confiture versé sur la personne soumise la feront souffrir. N’oubliez pas les bâillons faits en produits alimentaires.
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