C’est l’approche occidentale dans le bondage public. Tout commence par un bondage réalisé en quelques étapes et se termine par la suspension. La technique est très fonctionnelle et rigoureuse. Les difficultés se lisent sur le visage de la jeune fille liée. Par contre, le bondagiste parle gaiment avec la salle et la modèle, plaisante, les spectateurs sourient. A peine délibérée des cordes, la modèle saisit l’appareil photo et commence à prendre des photos de l’épisode suivant de la représentation. L’atmosphère rappelle celle d’une fête. Tout le monde est content.
Maintenant, comparez avec la variante orientale. Un vrai spectacle ! Le bondagiste étrangle et tourmente les modèles, ce qui représente bien la contrainte et les tortures. Les visages des modèles expriment la douleur et la soumission. Les spectateurs se préoccupent sincèrement du destin des captives. Le bondagiste utilise des pinces sophistiquées, des bougies, des plumes, etc. Finalement les hommes vêtus en héros de jeux vidéos arrivent, battent le bondagiste et emmènent les filles. Qu’est-ce qui s’est passé ? Qui peut le déchiffrer ?
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