L’avis d’un psychologue sur le BDSM

Les premiers symptômes du vrai sadisme sont formés très tôt. Selon la théorie de Sigmund Freud, les premières manifestations apparaissent au stade oral pendant l’éruption des dents, après se forment au stade anal à l’âge du 1,5 jusqu’au 3 ans.

Il existe des perturbations de la formation et de la perception qui aboutissent à de certaines dérivations et destructions. La notion de SM est assez vaste. Elle inclut les particularités du caractère, le besoin de la souffrance, l’agressivité, le sarcasme, la médisance, ect. L’ anorexie, la boulimie, le refus à la nourriture sont également des manifestations du SM.

Le sadisme et le masochisme sont deux notions d’un phénomène – SM, puisque le masochisme est une manifestation du sadisme, dirigé contre soi-même.

Dans la vie courante, les germes du SM sont propres à chaque personne. L’enfant, après l’adolescent a l’envie et l’intérêt de faire du mal à son ami et à lui-même. Plus souvent par curiosité. Au cours de sa vie sexuelle adulte, on voit des variantes du SM « léger » sous la forme de mordillements, d’asphyxie, etc. C’est pourquoi les notions de la norme sont assez floues. Au cas où la satisfaction n’est pas possible sans jeux et relations BDSM, sans moyens et stimulateurs supplémentaires, quand la douleur physique ou morale devient l’élément obligatoire des relations, on peut parler de pathologie. Les actions, les fantaisies et les problèmes de communication, liés aux désirs sadistes qui causent la douleur involontaire infligée à soi-même ou aux autres, sont une pathologie. La condition principale de la pathologie : la manifestation des symptômes cités ci-dessus pendant plus de 6 mois.

Il faut distinguer le SM des autres manifestations de l’agressivité ou de la cruauté, qui ont lieu dans des situations sexuelles, mais ne sont pas liées à la satisfaction. Le sadisme n’a pas forcement une nature sexuelle, il peut se rencontrer dans des relations « Chef – employée », « Adulte – enfant », sous l’aspiration au pouvoir.

Les relations, les mécanismes de l’influence, le respect des règles – sont les règles du jeu, les participants jouent les rôles choisis. Dans ce contexte, sous l’accord des deux côtés et sans risques porté à la vie des partenaires, les relations sont des « jeux pour les adultes » et ne peuvent pas être classés comme déviation.

Actuellement, la subculture du BDSM est assez bien développée, elle a quelques tendances et mouvements.

Les participants de la culture BDSM ont leurs propres attributs, devises et leur symbole.

Les relations BDSM sont basées sur la confience complète vis-à-vis de son partenaire, la responsabilité des deux côtés, l’honnêteté et l’absence de désapprobation.

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